Béatrice passionnément poésies

                 Vingt ans plus tard suite 99

- Non, d’un chien quelle bande d’incapables, mais bien sûr avec Alban comme guide dans la police, c’est un atout et pas des moindre, il faut absolument qu’il disparaisse de la surface de la terre, rage Martin.

Alban a été mis au courant, il est fier de Pierre et de Fred.

– le plan a fonctionné et les complices sont sous les verrous, maintenant à nous jouer ma chérie, pour nous ça serra plus…

– Dur, hum, pas sur Martin est certainement furieux, alors espérons qu’il ferra une erreur, en tous les cas tout Paris, sans exception est sous surveillance à tous les endroits susceptible d’être visés.

– Oui mais, je connais Martin et nous savons qu’il n’agit pas seul.

– Mon chéri nous sommes tous préparer à toutes éventualités.

Au Mexique

Les complices du tueur sont sous les verrous, ils sont mis en examen pour tentative d’assassinat susceptible d’être en rapport avec des terroristes.

Fred entre temps à raccompagné les filles à leur appartement, elles partent dans deux bonnes heures pour l’Australie.

– Merci, monsieur, décidément depuis que nous sommes ici, ils nous arrive bien de drôles de mésaventures, mais là, on est vraiment secouées, dit Marina.

– Ne me remerciiez pas, je ne fait que mon travail, mon nom est Fred, je ne peux vous en dire plus et je vous retransmettrais le verdict du procès, avez-vous une adresse mail ? Où vous me donnez-votre numéro de téléphone.

Claudine prend un stylo et un papier, elle écrit dessus son adresse mail et son numéro de portable, elle le lui donne et lui dit.

– Voici mon mail, mon numéro de portable envoyez un SMS, nous prenons l’avion dans deux heures, je vous répondrais quand nous serrons rentrées, à moins que.

– Oui il est possible que j’ai des nouvelles d’ici une petite heure, je vous enverrais un message.

– Merci, disent-elles.

Fred s’en va, puis à cet instant, il reçoit un coup de fil du juge des peines.

- Bonjour Fréderic, je vous appelle pour vous confirmer le verdict rendu par les jurys ; quarante ans pour Alexandro Pradays, vingt-cinq ans pour Ferdino Alffanzaut et pour Alice Pardiyas, quinze ans, et bien entendu sans remise de peine, or tout cela s’ajoute aux précédentes condamnations dans une autre affaire en Australie, pour les complices et j’ai prévenu les personnes travaillant avec vous.

– Bonjour, merci monsieur le juge, je prends note, bonne journée à vous.

– bonne journée, répond le juge et il raccroche, car du travail l’attend.

Fred retourne sur ses pas et va frapper à la porte des filles, Marina lui ouvre donc, il entre et leur transmet les nouvelles.

Elles se regarde et tombent dans les bras l’une de l’autre, contentes et soulagées.

Elles remercient Fred sans cacher leur joie.

Il repart, elles préparent leurs valises et vont se reposer un peu.

Une heure, plus tard elles prennent le car qui les emmène à l’ aéroport, après plusieurs heures de vol elles arrivent en Australie, elles prennent une navette et elles vont chez Marina, Claudine reste avec elle quelques jours.

Leur entrevue avec l’agence de Sydney s’est passé comme sur des roulettes, elles commencent leur essai, dans deux jours.

Elles ont réussi puis elles sont prises pour divers d’effilés et deux semaines plus tard elle apparaissent sur un magasine en vogue du pays leur carrière est alors lancée, elles apprennent en travaillant, pas de formation spécifique, elles fond cela comme ci elles l’avaient toujours fait, elle font le fierté de nouvelle l’agence MC pour femme rondes de Sydney, mais quelques filles sont jalouses, Marina et Claudine s’en foutent, royalement.

En France, le cinq mars, deux jours avant le premier attentat programmé par Martin.

Martin appelle la machette.

Le portable de Gabriel sonne, pas de réponse, Martin ronchonne.

– Répond bordel, puis il entend une voix.

– Salut Martin,

Martin reste muet, le son de cette voix lui hérisse les poils.

Cinq longues minutes passent interminables, l’homme à l’autre bout du fil sourit.

Béatrice Montagnac