Béatrice passionnément poésies

Béatrice passionnément poésies

Vingt ans plus tard suite 53

   Ils ont un regard grave.

- Martin a élaboré un plan machiavélique, mais lequel, Dorothéa m’a dit hier quelque chose qui fait froid dans le dos, elle a pressenti un danger.

Elle m’a dit ;

- Attention ! Martin vous tend un piège, même si vous l’arrêtez, il a tout prévu pour s’en sortir indemne et surtout pour qu’Alexandro passe sa vie en prison, je crois qu’il veut faire sauter le temple, à mon avis, il a des complices, certainement des prisonniers qu’il a côtoyé en prison, ces derniers ont été libéré sous caution.

- Bon, récapitulons, nous avons des photos prises par le satellite et celles que nos hommes ont fait au temple.

- Oui, nous avons des preuves contre Alexandro et ses complices, mais pour Martin rien ne prouve qu’il est impliqué, donc il aurait l’intention de tout détruire en faisant sauter le sanctuaire, la souris est certainement programmer et il n’a donc pas a s’en occuper. Dit Alban.

- Nous devons savoir absolument à quel moment et quand la bombe va exploser.

À cet instant, l’expert en électronique, d’engins explosifs, entre dans la pièce avec un compte-rendu de la souris. Il leur dit.

- Bonjour, sa troisième option, n’est pas un détonateur, mais le minuteur relier au détonateur qui se déclenchera pour faire sauter la bombe, vous n’avez que trois heures, pour la désamorcer et à savoir, ou elle se trouve dans le temple.

- Merci, je suppose que nous ne pouvons pas désactiver la souris et le détonateur non plus, dit Alban pendant que pierre lit le document.

- Hélas, non, mais vous pouvez ajouter deux heures sur le temps, cela vous laissera cinq heures, pour trouver la bombe, je vous donne cet objet qui pourra la détecter, bonne chance.

- Merci, c’est charmant, dit Pierre.

L’homme sort de la pièce, Alban et Pierre ont une grosse responsabilité, faire échouer le projet de Martin.

- Je vais envoyer des hommes fouiller la maison d’Alexandro, nous devons savoir comment il a pu être au courant du piège que nous lui avons tendu, alors que tous ses appareils ont été trafiqués et bloqués à distance.

- OK, tu crois qu’il avait un autre portable ou ordinateur bien caché, ou alors il a des complices, comme te l’a dit ta femme ?

- Toute probabilité est à prendre en compte, pour la bombe, je pense qu’elle est dans le temple, mes hommes avec cet objet la chercheront, je les envoie de suite.

- Bien, Pierre, tu sais quoi, je pense que ce fou sait que nous avons saisi, ses agissements, cela fait partie de son jeu, et oui, c’est un joueur dangereux et malin, alors, jouons nos meilleures cartes.

 

Martin dans sa cellule, chante tout content, ce qui surprend le gardien.

- Hé, du con, ne me regarde pas comme ça, je ne suis pas fou, toi non plus, mais t’es bête, dit le prisonnier en riant.

Le garde ne répond pas, il hausse les épaules.

Alban et Pierre reviennent, ils vont voir Martin, sans dire un mot, ils lui font signe d’approcher vers eux.

- Tu crois pouvoir t’en sortir comme ça.

- Alban, mon cher Alban, tu ne la trouveras pas, et boum.

- C’est ce que nous allons voir, mais dis-moi, comment tu as su pour l’arrestation des membres, et aussi que nous t’attendions.

- Hum, hum, quand ta voiture n’a pas explosé, j’ai capté que vous me suiviez et j’ai installé un micro au commissariat dans le bureau du chef, après avoir piégé ton auto, ne me demande pas comment, puis me faire prendre fut une idée de dernière minute.

- OK, cela n’a pas d’importance, on va le trouver.

Le lieutenant va donc le chercher, il revient avec l’objet.

- Le voici, du bon matériel, tu l’as trouvé où, chez Alexandro, je suppose.

- Hé, tu l’as vite trouvé, dit donc, bon ça ne m’étonne pas, après tout, vous aussi vous savez où les placers, les mouchards.

La réplique, n’a pas échappé aux flics.

- Martin, je trouverais comment te faire tomber, dit Alban.

- Mais bien sûr, Cher Ami, ne rêve pas trop quand même.

- Tu crois avoir gagné la partie, toi, ne rêve pas trop, non plus.

Le téléphone de Pierre, sonne.

- C’est Juan, il est avec mes hommes au temple, avec sa chienne, je prends l’appel, dit Pierre.

- Allô.

- Allô, Juan, je vous entends mal.

- Oui, moi aussi.

- Juan, il y a un drôle de bruit.

- Oui, je suis dans une pièce, que nous n’avons pas encore visitée, dit-il en hurlant.

- Quoi, mais où ça.

- Une autre chambre froide, et c’est rosette, qui là découverte, elle était ouverte.

- Ah, OK, heu, elle est couverte, comment ça couverte ?

- Ouverte….

- Ouverte, ah bon, je pense qu’ils n’ont pas pu la fermer.

- Mais ils n’ont rien dit, répond Juan.

- Mais, non, je t’ai dit ferme la porte, quand nous sommes arrivés.

- Oui, bon, en tous les cas, c’est fort intéressant et ennuyeux pour ce cher Martin.

- Caressant, mais qu’es qui est caressant.

- Intéressant, bon, je raccroche à plus au commissariat Pierre.

- OK, Juan.

Le lieutenant se gratte le menton en regardant son prisonnier.

- Et bien mon vieux, je crois que Juan est tombé sur quelque chose, qui ne doit pas être bon pour vous.

- Sauf si la bombe saute, elle est programmée, hum dans quelques heures boum ! Ah, oui, je crois qu’il est avec sa chienne, c’est curieux les chiens et boum.

- Oui, mais rosette est unique, et, alors ci, je comprends bien, vous avez prévu deux options pour qu’elle explose.

Martin le regarde d’un air suffisant, il rit.

Le lieutenant ne baisse pas les yeux.

Puis il va dans son bureau, allume l’ordinateur et ouvre le logiciel espion qui est relié au temple.

Il voit Juan et la chienne avec deux agents dans une pièce éclairée avec des lumières orangées, alors il active le micro qui l’a combiné à des haut-parleurs installés dans le sanctuaire.

           



14/01/2019
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