Béatrice passionnément poésies

Béatrice passionnément poésies

Vingt ans plus tard suite 63

Deux longues heures passent sans incident.
- Que font ils, ils attendent quoi dit Dorothéa.
- La fin du concert, je pense, mais oui, ils vont attaquer quand tout le monde sortira, il va falloir prévenir tous ces gens sans provoquer de panique, dit Didier.
– Et avec discrétion pour ne pas éveiller les soupçons de Martin qui surveille à distance, tous les fait et geste, ce petit malin, il se met ainsi à l’abri, dit Alban.
- Possible, oui, mais nous avons trois agents qui tentent de le localiser, avec un portable équipé d’un logiciel, pour tenter de localiser un ordinateur suspect à proximité de chaque bâtiment visé, répond Didier.
- C’est bien tout ça, mais des ordinateurs, il y en a aussi d’autres dans ces batistes, non ?
- Oui, ma chérie, mais ce sont des ordinateurs de bureau en général, et monsieur a un portable, en plus il utilise Linux comme système déploration, je n’ai pas oublié qu’il est aussi un pro de l’informatique et du bidouillage, alors quand nous le localiserons un bouton rouge se déclenchera avec un détecteur spécial, pour ne pas confondre, tel où tel engin, moi aussi, je suis un pro et cela nous avantage aussi.
- Peut-être où pas, tu connais Martin.
- Oui, je sais et moi aussi, mais tu n’as pas tort, qui sais, avec son cerveau malade, quel coup tordu a-t-il encore mis en place, quoi, que, j’ai ma petite idée, répond Alban.

Plus loin au musée du Louvre, la visite se passe normalement, jusqu’à ce que trois hommes louches fassent irruption dans le hall, armé et tire à l’aveugle sur les visiteurs.
Les terroristes étaient tout simplement parmi les touristes, pour ne pas éveiller les soupçons, puis ils se sont regroupés dans une salle fermée à clé, après avoir tué un agent un peu discret.

Ailleurs, trois attaques ont échoué, les assaillants ont étés arrêtés.

À la tour Eiffel, c’est silencieux, les agents sont sur le qui-vive et à l’Olympia toujours rien, une grande tension est palpable dans un silence de mort.

Le chef de la BRI reçoit un message.
« Nous n’avons toujours pas localisé Martin. »
- Je viens de recevoir un message, ils n’ont toujours pas localisé le tueur.
- Alors, c'est qu’il nous surveille, depuis l’appartement de Gabriel, mais j’en doute, en ce cas-là, il nous échappera encore, dit Dorothéa
– J’espère que non, réfléchissons un peu, soit il est dans un hôtel, un café, tout en restant discret, où dans la cave de l'immeuble, Didier rappel tes hommes et donne leur l’adresse, que voici là sur mon carnet.
- J’ai déjà envoyé un homme là-bas, mince, je n’ai pas de nouvelle.
Au même moment, un autre SMS lui parvient.
Pas de trace ici non plus au sous-sol.
- Alors, demande Alban.
- Rien !

Soudain, Alban a une intuition, il dit avec humour.
- Monsieur, Martin est dans les airs, l’oiseau s’est envolé et ne riiez pas, j’ai ma petite idée, il vole, il ne se mouille pas, il a laissé le travail aux terroristes ses complices et tout cela pour faire diversion, peu importe, qu’ils réussissent leur coup ou pas, il les a tout bonnement roulés et nous aussi.
- Alban, vous pensez à quoi, qu’il est dans un avion ?
- Oui, et sa cible se trouve en Normandie.
Dorothéa, qui a entendu la conversation, évoque une autre hypothèse.
- Et,s'il retournait au Mexique pour descendre Alexandro.
- Non, je ne pense pas, Alexandro, va passer le reste de sa vie en prison, mais il pourrait peut-être bien avoir cette idée, de le tuer, plus tard.
Didier, appel l’aéroport de Roissy, et demande la liste des passagers.
- Alban, j’ai appelé, à Roissy (il vole.) cela m'a interpellé. Pas de Marin, je pense qu’il est enregistré sous un autre non, dit Didier
- Oui, et il est certainement déguisé, dit Dorothéa.
- Regarde encore la liste qu’ils t’ont envoyée. Dit moi si tu trouves, un de ces deux non, Félix rivaux, Marc Donald.
Didier, consulte ses mails, pour relire la liste qu’il a demandée.
- Voyons, voyons, et ben, oui, il y a un Marc Donald.
– Hum, il voulait qu’on le sache, donc il sait, que je vais prévenir Fréderic, c’est un agent secret du FBI, un des meilleurs, il a la charge de protéger Justine, vous savez la sœur du faux procureur, dit Alban.
– Ah, oui, je suis au courant, répond Didier.
Pendant ce temps, dorothéa a aussi contacté l’aéroport, pour un éventuel départ pour le Mexique, et bingo, un des trois noms, qu’elle leur a demandé, est bien enregistré, Félix Rivaux.
– Merde et merde, dit-elle.
– Que se passe-t-il, lui demande son mari.
– Martin, est enregistré, sur le vol pour le Mexique, sous le nom de Félix, la question, est, dans quel avion, est-monté ?
– Je vais prévenir aussi Juan, dit Alban.

 

Aux Louvre, les dégâts sont considérables, mais heureusement, il n'y a seulement que des blessés légers.
À notre-dame, l’attentat a échoué, trois personnes sont arrêtées, une s’est enfuie.
À la tour Eiffel, les malfrats ont tous pris l’escampette, ils ont été poursuivis dans le métro, un des deux a été tué et un agent également, les autres se sont évanouis dans la nature pour le moment.
Puis dans la salle de spectacle où se trouvaient Alban et la troupe, les gents sont saint et sauve, ils sont sortis par la porte de secours sans incidents, la bombe à explosé alors que tout le monde fut dehors, sauf les deux terroristes qui portaient probablement une ceinture d’explosifs, les dégâts sont importants.
Et à trois autres lieus, tous ont été arrêtés.
Finalement, la situation reste équitable, entre les deux partis, les forces de l’ordre et les bandits.



14/03/2019
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