Béatrice passionnément poésies

Béatrice passionnément poésies

Vingt ans plus tard suite 91

                           Vingt ans plus tard suite 91

 

– Ah, OK, bon maintenant déterminons le rôle de chacun ici présent.

– Oui Dorothéa, vous, vous allez certainement aller à Paris avec Alban, avant vous ferrez des recherches sur ce fameux Gabriel sous le nom de la machette, une fois ces informations recueillies, vous pourrais partir après avoir évalué votre plan et m’en avoir informé et d’être en coordination avec ceux qui restent ici.

– Très bien, répond Alban.

– Vous Juan et pierre vous restez au Mexique, tant que Martin sera dans les parages, vous continuerez à le suivre et noter tous ses fait et gestes et faites attention qu’il ne se doute de rien, si jamais il a l’intention de partir sur paris, nous serons d en mesure de l’intercepté à l’aéroport, si non nous verrons en temps voulu.

– OK, et Justine ?

– Elle est sous étroite surveillance dans une résidence privé appartenant aux services secrets, et Frédéric veillera sur elle et suivra toute l’opération sur son ordinateur pour éventuellement vous prévenir si quelque chose d’anormal se produirait.

– Très bien, alors nous sommes tous fin près n’es pas ?

– Oui, nous sommes près Alban, répond Juan.

Ils discutent encore, sur leurs projets et également du procès d'Alexandro, car ils pensent tous que le premier attentat peu se produire dans l’enceinte du tribunal, normalement Frédéric et quelques agents seront sur place en civil.

Martin sera là en tant que témoin, donc ils leur faut absolument desceller des complices qui sont sur place, avant le procès et les arrêter.

Une heure trente, plus tard, ils sortent du bureau, à cet instant le destin de plusieurs centaines de gens est entre leurs mains.

 

Marina et Claudine visitent le musée d’histoire de Cuidad Juarez, avant de rentrer à leur hôtel.

– C’est intéressant, cette ville elle à une histoire plutôt chaotique.

– Oui, c’est incroyable, hé, regarde ça c’est un bijou rare, d’une valeur inestimable, il a été récupérer par la police il y vingt ans dans une secte, t’imagine, Claudie.

– Oui, et maintenant cette secte referait surface à parement.

– Marina, oublie un peu cette histoire.

– OK, que fait t’on maintenant, que nous avons fait le tour, de l’histoire de cette ville, et de tous ses revers, ici ?

– Manger au resto qui est à dix minutes à pied de l’hôtel, oui où non ?

– Ci tu veux, je n’ai pas trop envie de flâner dans cette ville.

– Tu fais une psychose, ma parole, depuis les choses ont évolué et puis ici ou à Paris le danger il est partout.

– Génial.

Elle vont donc sortir du musée et prendre la direction qui mène au restaurant.

Elle arrivent, elles entrent dans l’établissement, une personne leur demande, si elles préfèrent la salle à l’étage ou rester en bas.

– Aucune importance, répond Marina. Claudine approuve.

Le garçon de salle les fait monter à l’étage, deux tables pour deux sont disponibles.

Elles s’installent, il leur demande ci elles veulent un apéritif.

– Non, pas moi merci.

Vous Madame.

– Avec plaisir, un perroquet, vous avez, demande Marina.

– Oui Madame, comme vous le voyez c’est sur la carte, je vous laisse choisir votre menu à la carte ou du jour.

Il descend chercher les amuses gueule et le perroquet.

Au fond de la salle, la télévision est allumée, elle diffuse les infos de treize heures.

Le garçon revient avec l’apéro, puis il prend leur commande.

Aux informations, elles apprennent que Martin est libre et qu’Alexandro est toujours en prison, puis que le procès se déroulera au moins dans quinze jours sans plus de précisions.

Marina devient blanche à faire peur.

Claudine est elle aussi stupéfaite, mais elle accuse mieux le choc.

– Marina, je suis là, oui bon, on va rester ici plus longtemps, tu sais heureusement que nous avons la sale habitude de prendre, toujours trop d’affaire avec nous donc on va faire avec et on improvisera.

– Claudie, ici, je ne me sens pas en sécurité.

– Écoute, on va manger nous en discuterons après détends toi.

– Bon, ci je ne t’avais pas, qu’aurais-je fait ?

Marina boit son verre cul-sec, cela lui a fait un bien fou.

Claudine sourit, un serveur vient à leur table avec leur repart.

Il demande, qui a demandé un osso-bucco.

– Moi, dit Claudine.

Donc l’omelette aux lardons et champignons avec des patates sautées, c’est pour vous ?

– Ben, oui, répond Marina.

Elles mangent en silence avant de commander une gourmandise, pour faire passer la pilule.

 

                                   Béatrice Montagnac

 



11/04/2020
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