Béatrice passionnément poésies

Béatrice passionnément poésies

Vingt ans plus tard suite 70

- Oui, vous avez raison, les femmes fortes sont parfois des très belles. Dit Justine “ Corine”.

- Tu as raison, ma chérie, comme il y a des femmes minces qui sont moches sans charme, ce qui n’est pas ton cas, tu es resplendissante et charmante, un charme désarmant, n’est-ce pas, Personne ?
Martin observe Justine avec insistance, et il répond.
- Magnifique, oui magnifique.

Justine fait celle qui semble gênée, elle sourit et regarde Martin avec un regard de chatte pour le déstabiliser.
Martin perd pied, il rougit, puis se ressaisit.
Le petit groupe discute de tout et de rien, rien n’échappe au couple Justine et Fred,“ Martin tombera-t-il dans son propre piège” ?

La matinée est bien avancée, Marina doit rejoindre son amie pour le repas et ensuite allez travailler.
- Je prends congé de vous, je dois bosser cet après-midi, Personne vous pouvez rester avec eux, on se voit ce soir pour ce resto ?
- Avec plaisir Marina, à ce soir.
Martin sent que quelque chose lui échappe, tomberait il amoureux ?
Ses sentiments pour Marina sont toujours puissants et trouble. Également attiré par Corine.

 

À Paris.

Dorothéa et Alban sont sur le point de retourner au Mexique pour finaliser les formalités de son instruction et donc, boucler l’affaire “ JUSTINE ”
Ce sera un aller-retour Paris, Mexico en quatre jours.
De retour à Paris, le premier avril.
Une autre affaire en cours intéresse Alban, il contacte, de ce fait Fred.

Le portable de Frédéric sonne, personne ne répond, Alban lui laisse un message, “ bonjour Fred tout se passe bien là-bas, je te recontacte plus tard, ou rappelle-moi ”.
- Il ne répond pas, c’est normal, à mon avis, ils sont occupés sur leur filature. Dit Dorothéa.
Alban sourit et rajoute.
- Oui, certainement, à moins qu’ils passent du bon temps.
- Je te signale que l’on approche du repas de midi, puis ils ont une mission.
- C’est vrai, nous en attendant allons manger au resto du coin, ce soir, hum, je ne te fais pas un dessin, sur notre activité. Dit Alban
Elle le regarde avec ce regard qui le fait chavirer et elle lui fait un strip-tease en musique, sous le charme du spectacle, il comprend que le resto attendra.
Il met alors leurs portables sur le mode silencieux, et à son tour, il lui fait un jeu coquin de déshabillage.
Ils font l’amour oubliant qu’il y une minute leur estomac criait famine.

En Allemagne.

- Corine, Mathieu, ce fut un plaisir de vous rencontrer, je vous laisse, je dois retourner à l’auberge, on se revoit peut-être, demain ?
- Oui, pourquoi pas, Personne avec plaisir. Lui répond Justine.
Martin quitte Fred et Justine, pour prendre l’air et marcher, réfléchir, il n’est pas vraiment dans son assiette.
- Hé, ben, c’est plutôt bizarre, non ?
- Oui, je crois qu’il faut faire attention, avec lui, tout peut arriver. Perdre la partie, aussi facilement, je trouve cela étonnant effectivement, dit Fred.
Il consulte les massages de son portable et constate qu’Alban a tenté de l’appeler.
Il écoute le message et le rappelle.
Pas de réponse.
- Hum, Alban ne répond pas.
- Ô, tu sais, je crois qu’ils sont soit au resto, ou alors agréablement occupés !
- Oui, mais si on ne répond pas comme ça à tout de rôle, cela peut durer un moment.
- Tu exagères là, non ?
- bon, on fait quoi, nous mangeons ici, c’est sympa, ils font de la cuisine familiale et locale, simple, ça me convient et toi ?
Oui, regarde le repas du jour est inscrit sur un tableau.
Le garçon qui les a servi tout à l’heure, leur demande, s’ils veulent rester manger, ici.
- Oui, donnez-nous le repas du jour, complet avec entré, plat et dessert.
- Bien monsieur, normalement nous cuisinons pour des habitués, à leur pause repas, mais je fais une exception, car je vois que vous ne connaissez pas le coin et puis deux personnes à la dernière minute, alors !
- Merci. Disent ils ensemble.
Une heure passe, ils quittent le petit bistro familial.

En Normandie.

 

Dans leur chambre, ils se prélassent après l’amour.
- Il y a bien longtemps que je n’ai pas savouré un bon moment de détente loin du boulot.
- Oui, c’est plaisant, on va profiter de cette opportunité, en espérant que rien ne nous dérange.
- J’espère aussi, mon supérieur m'a autorisé deux semaines de pause, mais sans revenu.
- T’inquiètes pas, avec mon affaire, je pense que nous tiendrons le coup et puis nous économiserons les prochains mois.
- Hé, je crois que cela sera nécessaire en effet.
Il la prend dans ses bras et l’embrasse.
- Tu veux m’amadouer là, dit elle en riant.
Il sourit et se lève, il lui demande.
- Tu veux quelque chose à boire ou à manger.
- Oui, un thé vert, à manger, tu oublies le resto, toi.
- non, je n'ai pas oublié et il n’est pas si tard.
Il va dans la cuisine et lui prépare son thé, il en profite pour regarder son portable, et il voit que Fred l’a appelé, il lui envoie un message “ je te rappelle ce soir Fred sans faute”.
Le thé est prêt, il le met sur un plateau avec un chocolat chaud pour lui.

         



29/04/2019
8 Poster un commentaire
Ces blogs de Littérature & Poésie pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 61 autres membres