Béatrice passionnément poésies

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Vingt ans plus tard suite 117

Vingt ans plus tard suite 117

 

Justine fait celle qui semble gênée, elle sourit et regarde Martin avec un regard de chatte pour le déstabiliser.

Martin perd pied, il rougit, puis se ressaisit.

Le petit groupe discute de tout et de rien, rien n’échappe au couple Justine et Fred,“ Martin tombera-t-il dans son propre piège” ?

 

La matinée est bien avancée, Marina doit rejoindre son amie pour le repas et ensuite travailler.

– Je prends congé de vous, je dois bosser cette après-midi, Personne vous pouvez rester avec eux, on se voit ce soir pour un resto ?

– Avec plaisir Marina, à ce soir.

Martin sent que quelque chose lui échappe, tomberait il amoureux ?

Quelques jours passent, ses sentiments pour Marina sont toujours troubles, attiré aussi par Corine.

 

À Paris

 

Dorothéa et Alban sont sur le point de retourner au Mexique pour finaliser les formalités de son instruction et donc, boucler l’affaire “ JUSTINE ”

Ce sera un allez retour Paris, Mexico en quatre jours.

De retour à Paris, le premier avril.

Une autre affaire en cours intéresse Alban, il contacte, de ce fait Fred.

 

Le portable de Frédéric sonne, personne ne répond, Alban lui laisse un message, “ bonjour Fred tout se passe bien là-bas, je te recontacte plus tard, ou rappelle-moi ”.

– Il ne répond pas, c’est normal, à mon avis, ils sont occupés sur leur filature. Dit Dorothéa.

Alban sourit et rajoute.

– Oui, certainement, a moins qu’ils passent du bon temps.

– Je te signale que l’on approche du repas de midi, puis ils ont une mission.

– OK, et bien, nous en attendant allons manger au resto du coin, ce soir, hum, je ne te fais pas un dessin, sur notre activité. Dit Alban

Elle le regarde avec ce regard qui le fait chavirer et elle lui fait un strip-tease en musique, sous le charme du spectacle, il comprend que le resto attendra.

Il met alors leurs portables sur le mode silencieux, et à son tour, il lui fait un jeu coquin de déshabillage.

Ils font l’amour oubliant qu’il y une minute leur estomac criait famine.

 

 

En Allemagne.

 

Martin quitte Fred et Justine, pour prendre l’air et marcher, pour réfléchir.

– Corine, Mathieu, ce fut un plaisir de vous rencontrer, je vous laisse, je dois retourner à l’auberge, on se revoit peut-être, demain ?

– Oui, pourquoi pas, Personne avec plaisir. Lui répond Justine.

Il s’en va donc un pas vraiment dans son assiette.

– Hé ben, c’est plutôt bizarre, non ?

– Oui, je crois qu’il faut faire attention, avec lui, tout peut arriver. Lui, perdre la partie, aussi facilement, je trouve cela étonnant effectivement, dit Fred.

Il consulte les massages de son portable et constate qu’Alban a tenté de l’appeler.

Il écoute le message et le rappelle.

Pas de réponse.

– Hum, Alban ne répond pas.

– Ô, tu sais, je crois qu’ils sont soit au resto, ou alors agréablement occupés !

– Oui mais si, on ne répond pas à tout de rôle, cela peut durer un moment.

– Tu exagères là, non ?

– Oui, bon, on fait quoi, on mange ici, c’est sympa, ils font de la cuisine familiale et locale, simple, ça me convient et toi ?

Oui, Oui, regarde le repas du jour est inscrit sur un tableau.

Le garçon qui les a servi tout à l’heure, leur demande, s’ils veulent rester manger, ici.

– Oui, donnez-nous le repas du jour, complet avec entré, plat et dessert.

– Bien monsieur, normalement nous cuisinons pour des habitués, à leur pause repas, mais je fais une exception, car je vois que vous ne connaissez pas le coin et puis deux personnes ont annulé pour ce midi, à la dernière minute, alors !

– Merci. Disent ils ensemble.

Une heure passe, ils quittent le petit bistro familial.

 

Béatrice Montagnac



01/08/2021
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