Béatrice passionnément poésies

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Vingt ans plus tard suite 25

                        Vingt ans plus tard suite 25

 

Maria est franchement inquiète, qu'est il arrivé à Cathia ?

Une employée a contacté le commissaire de la ville, on lui a répondu, que leur collège était majeur et vaccinée, de rappeler dans quarante-huit heures. Maria prend le téléphone, trop tard, ils ont raccroché. Elle demande alors à Olivia l'employée de rappeler et de lui passer l'appareil.

– Alors, encore vous, je vous ai dit d'attendre, non !

– Ce n'est pas encore moi comme vous dites, Cathia est ma nouvelle amie et elle ne réponds pas au téléphone que vous faut t'il de plus, elle n'est pas à son travail et personne n'arrive à la joindre, oh oui je sais, vous allez me dire qu'elle a voulu changer d'air, non mais, c'est vous qui manquez pas d'air, va !

– Écoutez madame c'est la procédure, bon, ci vous n'avez pas de nouvelle ce soir rappelez-moi.

– Oui c'est ça, bande d’imbéciles.

– Oh, oh, là, du calme, vous savez combien de gens décident un jour de tout plaquer.

– Monsieur, je sais, mais ici avec la mafia les pilleurs et les dealers.

– C'est possible, mais nous ne pouvons rien faire pour l'instant, je peu juste raccourcir le délai de mon propre chef, désolé.

– Désolé et moi donc.

Maria se retient de l’envoyer se promener.

Elle envoie donc un texto avec son code secret à Alban, le prévenant de cette disparition.

Alban lit le message, il pense.

« C’est curieux ça, maintenant et pourquoi ? Je pense que cela a un lien, ou pas, mais alors que vont-ils faire à cette femme »

Justine le regarde et voit son visage changer, songeur.

– Que se passe-t-il ? tu en fait une tête.

– La gérante de l'office du tourisme a disparu.

– Quoi, ah, non !

– Ci, et… Enfin, j’espère que c'est une fausse alerte.

– J'en doute, nous lui avons posé des questions, elle devient alors un témoin gênant, n’oublie pas que son enfant a disparu il y a vingt ans et depuis rien.

– En tous les cas, nous allons y aller, mais nous ferons les ignorants, rappel toi, nous ne connaissons pas Maria.

– Oui merci de me le rappeler.

– Et je vous reprendrais souvent, pour éviter une gaffe.

– Mais !

– Bon préparons-nous, car après cela, n'oublions pas notre enquête.

– OK, et peut-être que cette affaire en fera partie, hum, beaucoup de travail.

– Bon, fini de papoter, lui répond Alban.

 

À l'office, Maria demande à Olivia où se trouve l'Avenue de la Rosa ? elle lui répond.

– À pied à une vingtaine de minutes d'ici, tu prends à gauche à droite puis encore à droite et tout droit, c'est l'adresse de Cathia.

– Oui, vous venez avec moi, je pense que cela est une bonne idée, comme vous la connaissez depuis longtemps je pense ?

– Oui depuis dix ans, mais nous étions pas vraiment amie.

– Dommage, je la trouve bien sympathique.

– Oui, mais nous avions des différents, cela, ne veut pas dire que je ne m’inquiète pas, bien je vous accompagne.

– Merci, mon nom c'est Maria et vous, à Olivia, c'est écrit sur votre veste de travail.

– Oui, c'est ça.

Olivia, dit aux autres employés de continuer de travailler et que la plus ancienne dirige l'agence.

Maria et Olivia sortent de l'office pour aller chez Cathia.

Au même moment Alban et Justine, arrive et ils entrent, comme ci rien n'était.

– Bonjour, disent-ils.

Personne ne répond les visages sont graves.

– Oh que se passe-t-il ? dit Justine.

– Nous n'avons pas de nouvelle de la patronne et silence radio au téléphone, la police nous à dit, qu'elle été majeure et vaccinée, enfin que nous devrions attendre, quarante-huit heure, mais grâce à cette dame que vous avez croisé en rentrant, il nous a donné jusqu'à ce soir.

– Oh, je m'en vois désolé et j’espère que rien de grave ne lui est arrivée, leur répond Alban.

 

                                  Béatrice Montagnac



12/04/2018
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