Béatrice passionnément poésies

Béatrice passionnément poésies

Vingt ans plus tard suite 41

                   Vingt ans plus tard suite 41

 

La promenade terminée, Juan et Rosette rentrent à la maison.

La chienne toute heureuse va boire et ensuite aller dans son panier qu'elle trouve confortable.

Juan, lui, il est intrigué pas la facilité d'adaptation du malinois.

– Rosette, tu m'aimes bien hé, et bien moi aussi, une question me chiffonne.

Elle jappe gaiement en guise de réponse, qui semble dire oui...

– Le mari, de Cathia, décédé il y a un an, était flic, non ?

Là, à cet instant, elle se met à geindre.

Le commissaire est contrarié, il va la prendre dans ses bras.

– Tout doux, je suis désolé ma douce, et oui j'ai travaillé pour en savoir plus sur ta maîtresse, on va la retrouver, je te le promets et je ne suis pas seul sur cette affaire, je crains que nous allons avoir des obstacles, et bien, j'ai compris à l’instant que cet homme était donc ton maître d'origine, saurais-tu une chienne flic.

Elle le lèche et aboie, cela est t'il une affirmation ?.

Ci, oui, Juan, comprend mieux, Rosette est un flic à quatre pattes.

– Tu sais ma belle, demain, tu viens au boulot avec moi et désormais nous allons faire équipe, toi et moi, OK.

Rosette remue la queue, toute contente.

– Super, quand le procureur me rendra visite, tu te cacheras et quand il partira, ci cet homme était présent dans la maison de Cathia, le jour de son enlèvement, tu sortiras de ta cachette, la queue entre les pattes, pour confirmation, et ci ce n'est pas le cas, et bien rien, tu resteras cool.

La chienne le regarde, elle semble sourire.

Juan, reste béa devant les capacités de l'animal à le comprendre, il lui tend la main, elle lui donne la patte.

Une amitié naissante et complice prend vie entre Rosette et Juan.

 

En Italie, le quatre octobre

 

Martin tourne en rond dans sa chambre d’hôtel, puis il décide, enfin d’aller dans la salle de bain se préparer, il chantonne un peu nerveux, sous la douche.

Son portable sonne.

– Merde toujours quand je suis occupé, flûte va !.

Il sonne une seconde fois, encore et encore, que Martin sort de la salle de bain nu et couvert de mousse, et il prend son portable, qui à cet instant sonne encore, il décroche.

– Allô.

– Bonjour monsieur, c'est la réception l’hôtel, puis-je savoir quand vous descendez prendre votre petit-déjeuner.

– Ah, c'est pour cela que vous avez appelé tant de fois, bon, heu, vers neuf heures.

– Ah, mais non, je ne vous ai pas appelé tant de fois, qu’à cet instant.

– Oh, bien, bon à tout à l'heure.

Il raccroche, et regarde les appels.

« Zut, le procureur, que me veut-il celui-là ? et merde, je le rappellerais quand cela me chantera, que ça lui plaise ou non ! »

Il descend prendre son petit-déj.

Deux croissants, un kiwi, un yaourt et confiture d'abricots.

« Avec ça, je vais bien démarrer la journée, non ? » pense le malfrat.

 

En dehors de la ville à l’appartement où sont Alban et Justine, c'est plutôt calme.

Dans leur chambre, ils prennent leur temps, après maintes recherches hier, le détective a enfin retrouvé la trace de Frédéric, à Milan.

– Justine, hé, ce n'est pas la porte d'à coté, Milan, et bien espérons que Martin, n'a pas aussi retrouvé sa trace.

-- Oui, c'est préférable, et ci nous voulons prendre le premier avions pour Milan, nous ne devons pas traîner, le vol est dans une heure tentes minutes.

– Oui, je sais, c'est vraiment un passage éclair par ici, mais bon, le travail avant tout et restons prudent, avec ce fou, nous ne savons jamais ce qui peu nous tomber sur la tête.

Ils vont donc prendre leur petit-déjeuner bien copieux et ensuite partir.

 

                      Béatrice Montagnac



17/10/2018
6 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Ces blogs de Littérature & Poésie pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 56 autres membres