Béatrice passionnément poésies

Béatrice passionnément poésies

Vingt ans plus tard suite 49

- Tiens, donc il se fout de nous celui-là, ou quoi ? Dit Juan.

- Non, il fait son boulot et il sait bien que son client lui a menti, de toute façon, qu’il lui a sûrement conseillé de plaider coupable.
- Moi, j’suis sûr, qu’il a refusé, il doit avoir une idée derrière la tête.
- Oui, tu penses au clone, qui au fait n’existe plus.
- Mais Alexandro ne le sait pas, ce sera certainement sa perte ?
- Oui et cela nous facilitera la tâche pour coincer, Martin et ce clan ! Dit Alban
Dans leur conversation, ils n’ont pas entendu la chienne arrivée, elle aboie, ils sursautent.
- Ma rosette, tu nous as fait peur, qu’as tu à nous dire, ma belle ?
Elle remue la queue et elle les emmène dans la pièce voisine, où se trouve Pierre Wardouen.
Ce dernier leur montre, comment il pourra mettre la main sur le clan Mafieux, le satellite a détecté L’entrée principal de la chapelle et ils sont prêts à intervenir, sachant que le tueur n’est pas là, et que son double a été détruit, pour eux, c’est une aubaine.
- Alban, tu as pour mission de surveiller la demeure d'Alexandro maintenant, je pense que c’est le bon moment et reste discret, Martin ne doit se douter de rien.
- Bien, chef, c’est comme si c’était fait.
- Juan, tu vas rejoindre mes troupes avec rosette, pour l’intervention dans le dessert de chihuahua, mes hommes sont prêts, ils vous attendent, nous avons tout ce qu’il nous faut contre eux pour les mettre à l’ombre pendant de longues années et les victimes, je pense qu’elles devront suivre une thérapie, avec un psychologue, ce sera indispensable.
- Rosette et moi, on se prépare, tout est fin prêt.
- OK, soyez tous prudents, vous les filles pour l’instant, vous restez avec moi, nous superviserons tout sur mon ordinateur.
- À vos ordres Pierre.
- Ah, oui, autre chose Frédéric detoscaux, « alias Altarre », rejoindra Alban, qui est au courant pour lui prêter main forte, si celas est nécessaire.
- Super, répondent, Justine et Dorothéa.
Alban est parti, depuis dix minutes avec son matériel d’observation.
Arrivé sur les lieux de la résidence du procureur, il se tapit au abord du petit-bois qui borde la demeure, et attend Frédéric, ils guetteront, s’il se passe quelque chose, que martin sorte, puis ils le suivront, dans un véhicule banalisé, sans être vu.

Quand à Juan et Rosette, ils sont en route, pour rejoindre les hommes de la CIA, qui sont à l’affût en attendant les ordres de leur chef.
Ils arrivent, tous sont prêts pour entrée dans la chapelle et arrêté les occupants, donc certains seront jugés et d’autres seront placés un hôpital
Spécialisé, les enfants eux seront placés dans des familles d’accueil et suivis par un psychologue.
Rosette, elle a pour mission de détecter de la drogue.

En Australie.

Au second procès en appel, de leur patronne et de Ferdino, qui ont été condamnés à douze ans de prison ferme, donc, quatre ans de plus, qu’au précédent verdict, Marina et Claudine ont alors
sauté de joie ; ce fut un jour de libération et de soulagement.
Depuis, elles ont retrouvé un emploi dans une parfumerie, qui vient d’ouvrir ses portes à quelques kilomètres de la ville proche du centre commercial.
Elles ont aménagé ensemble dans une maison, qu’elles ont louée sans difficulté, auprès d’une agence à un prix compétitif et les frais d’agence sont à la charge du propriétaire ; c’est la norme en Australie.
Les condamnés ont été rapatriés au Mexique pour une autre affaire ; complicité et non dénonciation de crimes et de l’existence d’une secte.
Ils seront confrontés à Alexandro avant le procès.

Au Mexique, trois jours plus tard.

Alexandro est appelé pour être entendu, dans un face-à-face sans avocat avec Ferdino et sa complice Alice Pardiyas.
Demain, commence le procès.

Le jour J, c’est le début d’un long procès d’Alexandro, de Ferdinand et d’Alice, il s’ouvre dans une heure.

Au domicile du faux procureur, Martin se prélasse, avant de mettre à exécution son plan pour entrer dans la secte et en devenir le maître absolu, mais il veut éliminer, Alban à tout prix.

Alban et Frédéric Detoscaux, qui vient de le rejoindre, sont bien planqués dans le bois privé de la propriété.
- Alban, nous l’arrêtons maintenant ?
- Non, Fred, nous allons le suivre de près, pendant quelques jours, sauf s'il devient trop entreprenant et dangereux, de toute façon, c’est moi qu’il veut et je pense que ça le bloque un peu pour agir rapidement.
- Tu as une idée, de ce qu’il peut faire ?
- Oui, je pense, je dois être sur mes gardes.
- Je vois.
- Ce genre de personnage veut tout contrôler, donc le temple est sa cible. Répond Alban
- Le diriger et être le maître du monde.
- Cela peut paraître invraisemblable, et pourtant, je le sens, c’est comme si j’étais connecté à ses pensées.
- Funèbres. Dit Frédéric.
Silence :
Ils attendent patiemment, et !
Vingt minutes, plus tard, les volets s’ouvrent, Martin ouvre les fenêtres, puis il regarde le ciel, qui est bien dégagé, un soleil radieux illumine son visage.
« C’est une belle journée qui commence, superbe, je vais passer au commissariat discrètement et trafiquer la voiture de ce cher Alban, avec un peu de chance, qu’il soit dans les locaux, oui, mais quelle marque de véhicule, il a ce con ? Bon, je trouverai, bien. » Dit Martin à haute voix.
Le tueur sort enfin trente minutes plus tard.
Il monte dans la voiture d’Alexandro, il a les clés et une autorisation mandatée par le procureur.
Fred et Alban le prennent en filature.
Martin arrive devant le commissariat, il se gare, descend du véhicule et se dirige dans la cour ou sont garées les voitures de police, une seule n’est pas une voiture de fonction, il en conclut qu’elle doit appartenir à Alban. Il regarde à droite à gauche, il n’y a personne, et le bâtiment semble être abandonné.
« Ils sont partis où les flics, j’ai plutôt de la chance.»
Il ne se doute pas, que plus loin, on l’observe.
- Que fait-il à ton avis ?
- Fred, on va le savoir.
Effectivement, Martin va prendre dans sa voiture, un objet ressemblant à une bombe.
- Il veut faire sauter ta voiture.
- Ne t’en fais pas, je connais ce genre d’engin, je la désamorcerais, quand il saura que son plan n’a pas marché, il cogitera et cela le déstabilisera enfin, je l’espère.
- Si tu le dis, en tous les cas, il veut ta peau avant de faire le reste.
- Oui, je te l’ai dit, non ? En lui faisant perdre du temps, Juan et la CIA auront arrêté les gourous et libéré les victimes et là, on agira.
- Eh bien, espérons qu’il n’y aura pas de revirement de situation.
- Toi ne me portes pas la poisse, OK.
- OK, OK, OK.



18/12/2018
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