Béatrice passionnément poésies

Béatrice passionnément poésies

Vingt ans plus tard suite 66

                      Vingt ans plus tard suite 66

 

Pendant la garde à vue de Ferdino, Marina se demande si elle va encore tomber des nues, tous ses efforts de reconstruction seraient anéantis, ou peut-être que l'incarcération de son petit ami pourrait être une chance, dans sa tête toutes les questions tournent en boucle.

Elle appelle son amie.

– Claudine, je ne te dérange pas ?

– Non, j'ai appris à la radio locale, tu veux que je vienne, bon, j'arrive attend moi.

Puis, son amie raccroche et cinq minutes plus tard elle part cher Marina.

Elle lui envoi un texto pour lui dire qu'elle serra là dans un petit quart d'heure.

Marine n'avait même pas eu le temps de lui parler, sa collègue qui est devenue une véritable amie, elle perçoit et devine son état d’esprit, elle est bien heureuse qu'elle vienne lui tenir compagnie.

Quinze minutes passent et Claudine est là.

– Marina, quelle histoire, tu es en train de vivre, tu viens ici pour être tranquille est voilà que peut-être Ferdino serait un bandit, et qui sait connais certainement ton ex, et en plus, il est l'amant de notre patronne, maintenant espérons qu'il reste longtemps en prison.

– Et, si il était innocent ?

– Ne te fait pas trop d'illusions, tu as entendu à la radio, il n'est pas un saint, ton ex, et elle l’a bien choisis.

– Oui, tu as raison, tu crois que cette affaire est liée avec d'autres, particulièrement avec celle que mon ex ?

– Possible, alors l'argent de l'assurance ne serrait pas pour refaire le magasin, mais, pour...

– Financer les combines d'Adrien, comme tu le sais, ce n'est pas son vrai nom.

– Oui, tiens en attendant, si on allait faire du lèche vitrine cela te changerait les idées.

– Merci, je me prépare, et rien que de rester ici, me donne le cafard.

– J'imagine, oui, comme tu vois, j'ai une valise, je reste ici le temps qu'il faudra, et ne discute pas.

Marina, qui n'avait pas vu le bagage, ouvre la bouche pour parler et puis ne dit pas un mot, elle sait que cela ne servira à rien, quand son amie a décidé, il n'y a rien à dire.

 

Au Mexique

 

En plein désert de Chihuahua, la secte est en pleine action ; le château l'abritant est sous une colline couverte de sable, il est pratiquement invisible, sa porte est au pied de la butte sous un tunnel couvert de sable.

Martin porte le numéro 102 et son clone le 202 qui est en attente.

Adrien alias ALFAS EMRIS, s'adresse à ses disciples.

– Mes chers frères, bientôt pour moi se serra un grand jour, le clone de Martin une fois mis au point sortira d'ici, pour accomplir tous mes désirs, il sera bien sur programmé avec certains souvenirs, au sujet d'Alban Salamandre son ennemi juré et qu'il est et a été un tueur sans pitié pour le reste ; rien ! C'est moi le maître pas lui.

– À vos ordres ; disent ils en le saluant.

L'un deux, le chef du groupe, celui qui s'occupe des clonages et accouplement d'adeptes inférieures (personnes kidnappées) qui sont sous le contrôle du roi et ses fidèles serviteurs, dit.

– Maître Alfas, nous serrons particulièrement très consciencieux sur ce sujet la, car cet homme, si je comprends bien, est un être d'une grande intelligence, donc j'en conclus que nous devrions enlever cette faculté à sa copie pour qu'il vous obéisse au doit et à l’œil.

– Oui et non, je veux dire lui enlever, le souvenir qu'il voulait tout diriger, le double doit seulement être un exécutant à mes ordres, mais il doit garder son intelligence pour déceler toutes failles et danger venant de nos adversaires, Alban le détective priver est probablement encore en vie, car Martin alias Félix, l'avais pressenti, alors maintenant, méfiance, cet homme est aussi redouble, Martin aimait me le rappeler en se ventant d'affronter un homme à sa hauteur voir plus.

– En effet notre tache est difficile, c'est le clonage le plus complexe que vous nous donné à faire, car d’une c’est un humain de surcroît hors norme, avec tout mon respect cher maître, nous serrons à la hauteur de vos espérances, grâce à notre scientifique de génie, le docteur Orlando Madroguaize qui travaille avec nous depuis des années, jamais aucun savant en clonage n'a atteint son niveaux et son secret est bien gardé chez nous.

– Alors qu'il termine le travail avec vous, et faite disparaître Martin Cordommier, de la surface de la terre, est-que je me suis fait bien comprendre, je reviendrais dans une semaine, nous sommes le onze novembre, tout doit être prés le vingt novembre, ah et il doit aussi oublier qui est Maria, compris !

Atheris, le chef et ses disciples le saluent et partent faire le sale boulot.

Adrien, s’apprête à sortir dans l'autre rive, au tribunal.

 

 

                                         Béatrice Montagnac



15/04/2019
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