Béatrice passionnément poésies

                    Vingt ans plus tard suite 84

La Chienne contente, aboi, après avoir ouvert la porte de l’armoire congélateur et tous découvrent le summum de l’horreur.

Des corps de jeunes personnes sont congelés, certains, mutilés, ont leur a ôté leurs organes.

Juan dit à Rosette.

– Ouvre, nous, toutes les armoires, je crois que nous détenons toutes les preuves d’un trafic juteux.

Elle le regarde, d’un air qui semble dire.

« Tu ne peux pas le faire, tu as vu comment je fais, non ? »

Juan, souris, il lui dit.

– Rosette, ma grande tu es une experte.

Elle remue la queue, toute contente d’être félicitée.

Elle ouvre donc les trois congélos et une armoire qui contient des documents confidentiels.

– Et, bien mon lieutenant, nous avons là de quoi faire coffrer, ce cher Alexandro, pour la perpétuité et ses complices, sauf bien sûr, les victimes forcées d’obéir.

– Très bien, quand nous tiendrons Martin Cordommier, je ferais venir avec la police scientifique, le nouveau et vrai procureur, en attendant prenez des photos de tous ça, merci.

Puis il s’adresse à la chienne.

– Bravo, brave Rosette.

Elle met alors, les pattes sur ses épaules et lui lèche le visage, l’homme est plutôt de petite taille, mais c’est un paquet de muscles, il tient bon pour ne pas tomber, mais Rosette finie par l’allonger.

Juan ne peu pas s’empêcher de rire de bon cœur, tant la scène est comique.

Passé ce bon moment, tous redeviennent sérieux.

Un bruit les fait sursauter.

– Chut… Dit Juan en faisant mine de ne pas parler.

Une souris passe entre leurs jambes.

– Quel émotion, d’où vient-elle cela ?

– Quelle importance, commissaire.

– Aucune.

Le portable de Pierre sonne.

– C’est Alban, je réponds, il décroche donc.

– Bonjour, Alban.

– Bonjour, Nous surveillons Martin à distance, je ne sais pas pourquoi, il ne sort pas.

– Vous êtes toujours dans le jardin.

– Non, il croit ne plus être surveillé, à moins que. Alban, laisse sa phrase en suspens.

– À moins que, quoi ? répond Juan qui écoute la conversation.

– Je ne sais pas Juan, Frédéric n’a oublié aucunes pièces de la maison même le jardin, je pense à un passage secret que nous ne connaissons pas ou il a trouvé un moyen de contourner les cameras.

– Moi je ne pense pas, qu’il sait où sont vos cameras, scellement il anticipe toute éventualité, donc il prend des précautions.

Alban lui répond.

– Nous aussi nous avons pensé, qu’il pourrait bien avoir de drôles d’idées, Fred à mis en place un plan B, il surveille notre homme avec une autre camera à infra rouge, dernier cri, capable de détecter un homme caché dans un combinaison blanche, le rendant invisible sous les cameras ordinaires, une invention de martin la combi justement, car nous l’avons vu l’enfilé, puis disparaître et la camera spéciale l’a alors repérer.

Fred fait signe à Alban et dit.

– Dit leur que l’homme est sorti de la maison par effectivement un sous-sol, il se dirige vers le temple, dans une fourgonnette bleue, elle est aussi truffée de cameras miniatures, indétectables.

Le lieutenant à entendu, il leur dit.

– Bien ne le lâchez par des yeux, nous devrions être prêts à l’accueillir.

Cela fait plus de dix jours, qu’ils attendaient ce moment-là. Un autre bruit se produit, au même moment, Qu’Alban et Fred perdent la trace du tueur.

En Australie

Marina et Claudine se préparent pour aller au Mexique.

– Marina, tu es sûr de vouloir aller au procès de ton ex et de Ferdinand.

– Oui, cela sera pour moi un moyen, ensuite je tourne la page.

– Je comprends, de toute façon, je t’accompagne, c’est non négociable, chut... Ne me dis rien, nous préparons nos bagages, demain, jeudi matin nous décollons vers neuf heures, on arrivera le mercredi à quatorze heures, environs.

– OK, merci d’êtres là, tu es une véritable amie.

Les deux amies s’enlacent émues, puis elle finissent leurs valises.

                              Béatrice Montagnac