Béatrice passionnément poésies

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Vingt ans plus tard suite 86

                    Vingt ans plus tard suite 86

 

– Alors, que voulez-vous me dire, Pierre.

– Martin, tu ne trouves pas qu’il s’est fait prendre trop facilement ?

– Ah, tu le pense toi aussi, je me demande bien ce qu’il a derrière la tête ?

Tu n’as pas une petite idée ? moi-ci.

Alban le regarde et il lui répond.

– Oh, que ci, tu penses à quoi toi ?

– Ah , la souris, nous avons cru que cela pouvait-être un émetteur ou un détecteur, l’expert à conclu que cet objet à trois fonctions.

– Je crois que nous pensons la même chose, c’est un émetteur, détecteur et aussi un détonateur à distance programmer.

– Bravo, maintenant imaginons son plan, dit le lieutenant.

Les deux ont le regard grave.

– Martin a élaboré un plan machiavélique, mais le quel, Dorothéa m’a dit hier quelque chose qui fait froid dans le dos, elle à pressenti un danger, elle m’a dit ; attention ! Martin vous tend un piège, même ci vous l’arrêtez, il a tout prévu pour s’en sortir indemne et surtout pour qu’Alexandro passe sa vie en prison, je crois qu’il veut faite sauté le temple, à mon avis il a des complices, certainement des prisonniers qu’il a coutoyé en prison, et qui ont été libéré sous cautions.

– Bon, récapitulons, nous avons des photos prise par le satellite et celles que nos hommes ont fait au temple.

– Oui nous avons des preuves contre Alexandro et ses complices, mais pour Martin rien ne prouve qu’il est impliqué, donc il va tous détruire en faisant sauter le sanctuaire, la souris est certainement programmer et il n’a donc pas a s’en occuper, dit Alban.

– Nous devons savoir absolument à quel moment et quand la bombe va exploser.

À cet instant, l’expert en électronique, d’engins explosifs, entre dans la pièce avec un compte-rendu de la souris. Il leur dit.

– Bonjour, sa troisième option, n’est pas un détonateur mais le minuteur relier au détonateur qui se déclenchera pour faire sauter la bombe, vous n’avez que trois heures, pour la désamorcer et savoir, ou elle se trouve dans le temple ou ailleurs.

– Merci, je suppose que nous ne pouvons pas désactiver la souris et le détonateur non plus, dit Alban pendant que pierre lit le document.

– Hélas, non, mais vous pouvez ajouter deux heures sur le temps, cela vous laissera cinq heures, pour trouver la bombe, je vous donne cet objet qui pourra la détecter, bonne chance.

– Merci, c’est charmant, dit Pierre.

L’homme sort de la pièce, Alban et Pierre ont une grosse responsabilité, faire échouer le projet de Martin.

– Je vais envoyer des hommes fouiller la maison d’Alexandro, nous devons savoir comment il a pu être au courant du piège que nous lui avons tendu, alors que tous ses appareils ont été trafiqués et bloqués à distance.

– OK, tu crois qu’il avait un autre portable ou ordinateur bien caché, ou alors il a des complices, comme te l’a dit ta femme ?

– toutes probabilités sont à prendre en compte, pour la bombe, je pense qu’elle est dans le temple, mes hommes avec cet objet la chercheront, je les envoie de suite.

– Bien, Pierre, tu sais quoi, je pense que ce fou sait que nous avons saisi, ses agissements, cela fait parti de son jeu, et oui c’est un joueur dangereux et malin, alors, jouons nos meilleures cartes.

 

Martin dans sa cellule, chante tout content, ce qui surprend le gardien.

– Hé, du con, ne me regarde pas comme ça, je ne suis pas fou, toi non plus mais t’es bête, dit le prisonnier en riant.

Le garde ne répond pas, il hausse les épaules.

Alban et Pierre reviennent, ils vont voir Martin, sans dire un mot, ils lui font signe d’approcher vers eux.

– Tu crois pouvoir t’en sortir comme ça.

– Alban, mon cher Alban, tu ne la trouveras pas, et boum.

– C’est ce que nous allons voir, mais dit-moi, comment tu as su pour l’arrestation des membres, et aussi que nous t’attendions.

– Hum, hum, quand ta voiture n’a pas explosé, j’ai capté que vous me suiviez et j’ai installé un micro au commissariat dans le bureau du chef, après avoir piégé ton auto, ne me demande pas comment, puis me faire prendre fut une idée de dernière minute.

– OK, cela n’a pas d’importance, on va le trouver.

Le lieutenant va donc le chercher, il revient avec l'objet.

– Le voici, du bon matériel, tu l’as trouvé où, chez Alexandro, je suppose.

– Hé, tu l’as vite trouvé, dit donc, bon ça ne m’étonne pas, après tout, vous aussi vous savez où les placers, les mouchards.

La réplique, n’a pas échappé aux flics.

– Martin, je trouverais comment te faire tomber, dit Alban.

– Mais bien sûr, cher ami, ne rêve pas trop quand même.

– Tu crois avoir gagné la partie, toi, ne rêve pas trop, non plus.

Le téléphone de Pierre, sonne.

– C’est Juan, il est avec mes hommes au temple, avec sa chienne, je prends l’appel, dit Pierre.

 

                            Béatrice Montagnac

 



13/12/2019
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