Béatrice passionnément poésies

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Vingt ans plus tard suite 87

                      Vingt ans plus tard suite 87

 

– Allô.

– Allô, Juan je vous entends mal.

– Oui, moi aussi.

– Juan, il y a un drôle de bruit.

– Oui, je suis dans une pièce, que nous n’avons pas encore visité, dit-il en hurlant.

– Quoi, mais où ça.

– Une autre chambre froide, et c’est rosette, qui là découverte, elle était ouverte.

– Ah, OK, heu, elle est couverte, comment ça couverte ?

– Ouverte….

– Ouverte, ah bon, je pense qu’ils n’ont pas pu la fermer.

– Mais, ils n’ont rien dit, répond Juan.

– Mais, non, je t’es dit fermer la porte, quand nous sommes arrivés.

– Oui, oui, bon, en tous les cas c’est fort intéressant et ennuyeux pour ce cher Martin.

– Caressant, mais qu’es qui est caressant.

– Intéressant, bon je raccroche à plus au commissariat Pierre.

– OK, Juan.

Clic.

 

Le lieutenant se gratte le menton en regardant son prisonnier.

– Et bien mon vieux, je crois que Juan est tombé sur quelque chose, qui ne doit pas être bon pour vous.

– Sauf si la bombe saute, elle est programmée, hum dans quelques heures boum ! ah, oui, je crois qu’il est avec son chien, c’est curieux les chiens et boum.

– Oui, mais rosette est unique, et, alors ci, je comprends bien, vous avez prévu deux options pour qu’elle explose.

– Hihihihi.

 

Le lieutenant, incline la tête de droite à gauche et puis il va dans son bureau, il allume l’ordinateur et il ouvre le logiciel espion qui est relié au temple.

Il voit Juan et la chienne avec deux agents dans une pièce éclairée avec des lumières orangées, alors il active le micro qui l’a combiné à des hauts parleurs installés dans le sanctuaire.

– Vous m’entendez.

Juan tourne la tête, pour localiser la voix et il répond.

– Oui Pierre, je vous entends, enfin mieux que dans le portable.

– Bien, faites attention à vous, au fait la bombe l’avez-vous trouvé ?

– Oui, Pierre enfin je crois, car à l’instant rosette a trouvé un objet qu’elle ne veut pas que je touche, cela ressemble à une statuette.

– Ouah, je le savais que ta chienne, elle ne tombera pas dans ce piège, Martin a prévu deux options pour faire sauter son engin de mort.

– Ah, tu veux dire que la statuette, ci, nous la touchons, on saute, répond Juan.

– Bingo ! Celle-ci est probablement une bombe artisanale très sensible au touché, l’expert va s’en charger, à mon avis il y a une autre bombe, dit Pierre.

– Peut-être, et vous l’avez-vous fouillé ?

– Oui, il n’a rien sur lui, pas d’arme non plus et sa montre ont l’a réoccuper, un expert la disloque en ce moment, ah, notre connaisseur il arrive.

– Lieutenant, c’est une simple montre.

– Merde !

– Pierre, j’ai entendu, nous savons que son dispositif est automatique, donc il n’a rien n’a faire.

– C’est possible, car il n’a sur lui que sa combinaison de prisonnier.

– Oui je sais, mais avec Martin tout est possible.

Après un court silence, Juan demande à parler avec Alban.

– Alban, il est parti voir dans sa voiture.

– Appelle-le, je crois savoir comment, Martin a élaboré son plan.

– Juan, Alban revient, Alban, Juan veux te causer.

– Il n’a pas pris sa voiture, ouf, sauvé. Dit Juan d’une voix tremblante.

– Oui, c’est moi Alban, que se passe t’il pour que tu paniques comme ça ?

 

                             Béatrice Montagnac            



07/01/2020
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