Béatrice passionnément poésies

Béatrice passionnément poésies

Vingt ans plus tard suite 89

                      Vingt ans plus tard suite 89

 

Une bagarre éclate, deux policiers tentent de séparer les deux hommes, ils les remettent à leur place.

Le juge Garcia Dominezgo prend la parole.

– Bon, vous, vous êtres calmés maintenant, vous, Alexandro, n’aggravez pas votre cas, je vous rappel que votre procès avec vos complices ; (Ferdinand est Alice.) a donc été reporté au quinze février, car vous avez agavé votre cas, premièrement en menaçant votre avocat et deuxièmement, du fait de votre tentative d’évasion, vous avez là, foutu une belle pagaille et ceci ne plaide pas en votre faveur, vous, vous êtes exposé au risque, d’une peine plus lourde, me suis-je bien fait comprendre.

– Oui, monsieur le juge.

– Alors tenez-vous tranquille, et vous, Martin Cordommier, ou dois-je vous appeler Félix Rivaux ? Là, j’ai à faire à un cas hors norme, vous avez été condamné à la peine maximale, pour divers meurtres ; donc le meurtre d’un inspecteur de police, ah, aussi d’enfants, bon j’en passe, puis votre évasion de la prison de la santé à Paris juste avant votre transfert à Fresnes, maintenant je vous trouve ici, dans une affaire louche en tant que complice de Alexandro Pradays, sous le nom d’Adrien Santhanio, ici présent.

– Et, alors cela vous dérange, je m’appelle Félix Rivaux, alors là, mois je rigole, ce cher Alex ne sortira jamais de prison et vous ne trouverais rien sur moi, au pire je retourne d’où je viens.

– Monsieur Cordommier, que vous être impertinent, alors je vous écoute.

– Du con, je vous dis que c’est Rivaux ! Et je n’ai rien avoir avec cette affaire ce monsieur m’a gentiment hébergé chez lui, comme homme à tout faire.

– Bien, je vois que vous ne voulez pas coopérer.

– Coopérer, hé pour quoi, dit-lui toi, que j’étais ton larbin et rien d’autre.

Le faux procureur, connaissant mieux cet homme, va confirmer ses dires, la peur au ventre.

Martin sourit, son plan commence bien et ce n’est que le début, car il sait être très convaincant.

Le juge Garcia, libère donc Martin sous contrôle judiciaire, un fait rare au Mexique et Alexandro retourne en prison jusqu’au procès le quinze février, qui se déroulera donc avec Martin comme témoin à charge.

Le juge fait sortir les deux hommes de son bureau, Martin est libre et Alexandro entre deux policiers et menotté, il retrouvera sa cellule.

Martin dehors le sourire aux lèvres, pense.

« Cela pour moi, me semble bien trop facile, méfiance ce juge m’a je crois vite libéré, il m’a tout l’air d’être d’avoir un plan, ou alors j’ai été à la hauteur, mais c’est Alban qui va enrager avec les autres poulets.»

 

Au commissariat, tous apprennent que leur prisonnier est ressorti libre de chez le juge, personne n’est vraiment surpris.

– Je n’en doutais un peu, je crois que la bombe il savait que nous la retrouverions et qu’elle serait désamorcée, depuis plus d’une heure, quelque chose me chiffonne, quant nous lui avons dit que Rosette a trouvé la bombe et que nous l’avons mise hors d’usage, il a simplement ri.

– Tu penses qu’il manigance quelque chose de plus machiavélique ? dit le lieutenant.

– Oui, mais quoi, et la deuxième bombe a t’elle été désamorcée ? Je suis sûr qu’il n’agit pas seul, cela, je sens, il nous faut absolument trouver ce qu’il prépare, car il va s’en sortir, c’est son ou ses camarades qui vont certainement, exécuter la deuxième parti de son plan !

– Oui, l’expert à trouvé comment désamorcer la statuette, bon, nous allons faire parler son portable qui est resté en notre possession au labo, avec d’autres affaires personnelles qu’il n’a pas récupéré, je pense que tuas probablement raison, dit Pierre.

 

Le tueur lui est rentré dans la demeure d’Adrien, il s’installe dans le salon comme ci rien ne s’était passé.

Il ouvre son ordinateur est discute sur Chatwing, avec un certain Gabriel un ex taulard et compagnon de cellule.

 

Au laboratoire, le téléphone est fouillé avec un outil professionnel de la police pour tout voir ; conversations, site web, contact, les messages et appels, même les messages et les appels détruits.

– Alors voyons ce que tu as dans le ventre, dit Alban en regardant l’écran de son ordinateur.

Les messages et appels lisibles n’ont rien donné, il va donc plus loin avec le logiciel dans la corbeille et tout récupérer, hélas Martin a tout mit sous un code secret.

– Hum, mais mon coco, je vais trouver, avec ma dernière carte maîtresse ; un programme américain de la NASA.

 

                      Béatrice Montagnac 



19/02/2020
6 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Ces blogs de Littérature & Poésie pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 56 autres membres