Béatrice passionnément poésies

Vingt ans plus tard suite 90

Ce qui s’affiche sur son ordi est inconcevable et pourtant ! Les informations recueillies, sur Martin, trace un parcourt terrifient, une conversation avec un certain ; Gabriel dit la machette un terroriste emprisonné, qui était dans la même cellule que le tuer et transféré dans un autre pièce seul, les deux hommes communiquent par Chatwing.

– Non, de dieu, même toi Chris, mon frère de cœur tu n’aurais jamais imaginé cela, c’est vraiment impensable, même, ci Martin est un monstre, je pense que de la haut tu dois bouillir, dit Alban tout haut.

– Vous m’avez parlé, commissaire ? dit un brigadier.

– Non, non, je pensais tout haut, désolé.

– Oh, ce n’est pas grave.

À cet instant Rosette, entre dans le bureau et elle trouve Alban bien songeur voir triste aussi.

Elle aboie, inquiète.

– Ça va, ça va, ma douce, je suis nostalgique, il me manque tu sais, Chris mon meilleur ami donc je t’ai montré les photos à toi, et à ton maître.

Elle remue la queue, puis le regarde en respectant ce court silence, une larme à l’œil.

Bon, ma belle, j’ai fouiné dans le portable de Martin et ce n’est pas rassurant.

J’ai décodé une conversation avec un certain Gabriel un terroriste.

– Ils parlaient de programmer un attentat en France avec un autre complice libère depuis plus d’un an, le pire de tout cela c’est que notre tueur est aujourd’hui reconverti, vois-tu ou je veux en venir.

Le regard de la chienne en dit long, car dans le passé elle fessait parti d’une brigade antiterroriste, la BRI et de la SDAT qui est moins connue.

Oh, c’est quoi ce regard, lui dit Alban.

Elle grogne, Alban, croit comprendre le message.

Il va chercher Juan, pour lui signaler, que Rosette est certainement bien plus qu’un chien policier et aussi l’avertir que Martin est aujourd’hui, aussi un dangereux terroriste, près à tout.

– Alban, le juge Garcia, m’a informé de cela, et ci il a libéré ce fou, c’est pour une bonne raison, Martin va être pisté par un agent de la CIA. Car il pense tout comme moi qu’il va par tous les moyens contacter ce fameux Gabriel pour mettre en place leur plan d’attentat que tu vas découvrir dans la conversation téléphonique de son téléphone, à moins que tu le sache déjà ? bon de ce fait le juge et nous tous avec Pierre est deux de ses hommes, ce soir nous avons RDV cher le juge pour mettre en place un stratagème pour faire échouer leurs méfaits (deux attentas donc un de grande ampleur, tout paris est visé.) voici le double du dossier que j’ai remis à Monsieur le juge, je te le laisse, lit le, c’est du lourd.

– Juan, tu as eu ces infirmations comment ?

– Alban, n’oublie pas que nous travaillons en étroite collaboration avec La CIA et aussi Interpol depuis son évasion.

– C’est vrai, maintenant que nous l’avons tous dans le collimateur, il va falloir être rusé, car le lascar, pourrait être septique vis-à-vis du juge, peut-être qu’il se pose des questions.

– C’est possible, Garcia a tout prévu, comme tu le sais, le juge est aussi un agent secret.

– Oui, bon, écoute je prends connaissance de ce dossier, tout en continuant de disséquer les conversations et les messages de son téléphone, je tirerais tout ça et je comparerais mon dossier avec le document que m’a apporté.

– OK, à ce soir, vingt et une heures.

Juan sort du bureau avec Rosette.

Au tribunal à vingt heures cinquante, le juge se prépare pour la réunion.

Alban, Juan, Pierre et Dorothéa, qui jusqu’ici travaillait dans l’ombre, ainsi que Rosette, qui est admise à participer, ils arrivent à l’heure dite, à vingt et une heures.

Ils sont maintenant dans le bureau avec deux agents de la CIA et également un haut gradé d’Interpol.

– Bonjour, merci à vous d’être aujourd’hui venus à cette réunion, comme vous le savez, elle est de la plus haute importance, car nous savons tous, que nous avons une mission, celle de déjouer des actes assassins qui se prépare ici au tribunal et à Paris, oui, je sais, vous, vous dites, Martin est un dangereux criminel, redoutable et sans aucune pitié, mais, nous savons aujourd’hui qu’il est devenu aussi un terroriste ! Et bien oui, tous cela s’est concrétisé en prison ; vous avez fait là des recherches fructueuses, donc du bon travail, ainsi que moi-même, je vous ai remis le dossier de mes Investigations. Vous le savez certainement, que le juge Mathias Julien m’a gentiment laissé sa place pour tous les déroulements du procès et de cette affaire en particulier, sans oublier que tous les magistrats sont au courant, tous m’ont bien accueilli et accepter de bosser avec moi, puisque je suis formé pour honorer cette profession.

Rosette aboie et remue la queue en guise d’approbation.

– Mathias Julien ou Julien Mathias, demande Dorothéa.

– Julien, c’est son nom de famille, lui répond Garcia.

Béatrice Montagnac