Béatrice passionnément poésies

Béatrice passionnément poésies

Vingt ans plus tard suite 92

                     Vingt ans plus tard suite 92

 

Elles dégustent leur dessert un paris brest.

– Que ça fait du bien et tant pis pour les rondeurs sur les hanches.

– Oui, demain une bonne marche ferra du bien, après une nuit reposante.

– Tu parle Claudie, reposante, hum.

– Aller Marina, décompresses un peu, ce n’est pas la mer à boire, après ce que nous venons de vivre.

– Toi, je ne sais pas comment tu fais pour rester cool ?

– Je prends la vie comme elle vient.

– Super.

Après avoir fini et payé leur repas, elles vont à l’hôtel.

– Bon maintenant dit moi comment on va payer l’hôtel pour quinze jours Claudie ?

– On cherchera un autre endroit, nous allons trouver une solution et puis j’oubliai j’ai vu que pour un séjour de huit ou une quinzaine de jours, le propriétaire loue aussi des petite maisons de vacances toute l’année, et les prix sont correctes en tout les cas cela revient deux fois moins cher que la chambre et bien plus pratique, puisque nous ferons notre manger, bon on verra demain, ci nous pouvons louer de suite.

– OK, c’est vrai, bon, je suis contrariée, demain, ça ira mieux, j’espère.

 

Elles vont prendre une douche et se mettre en tenue de nuit, regarder la télé puis elle vont se coucher.

Marina s’endort un peu plus tard que son amie et finalement elle passe une bonne nuit.

Le lendemain, elles descendent à la salle à manger, prendre leur petit-déjeuner et Claudie va demander au réceptionniste, ci elles peuvent raccourcir le séjour à l’hôtel et prendre une location dans une de leur maison de vacances, car elles doivent prolonger leur séjour au Mexique, pour motif personnel.

– Oui, madame, je ne pense pas que cela soit un problème, je vais voir le gérant, vous verrez cela avec lui, mesdames.

Quelques minutes, plus tard, le gérant vient à leur table, il leur dit de passer le voir dans son bureau, après avoir fini leur petit-déj’.

Elles boivent leur café. Et vont donc frapper à la porte du gérant.

– Entrez.

Elle entrent.

– Bonjour, asseyez-vous, vous voulez annuler vous deux autres nuits, pas de problème, vous voulez louer une maison, pour quinze jours, c’est cela, n’es pas ?.

– Bonjour, oui, réponds Claudine.

– Très bien, je vais vous faire visité une maison à un petit kilomètre d’ici au sud du centre-ville, plutôt calme, avec petit commerce de proximité, pour un pris intéressant.

– Combien ? demande marina.

– À cette saison c’est trois cent euros la semaine ; donc sept mille huit cent vingt-cinq, huit pesos mexicain.

– OK, c’est correct en effet, nous visitons quant ?

– Après midi vers quinze heures.

– C’est parfait, à tout à l’heure donc, merci, monsieur, dit Claudine.

– Je vous en pris, tout le plaisir est pour moi.

Elles sortent du bureau et vont à la réception, pour payer leur nuit et le petit-déj, compris dans le prix, cinquante-cinq euros, mille quatre cent trente-quatre, huit pesos.

– Monsieur, nous prendrons le repas de midi ici, c’est possible.

– Oui, madame, sauf le week-end, pas problème, nous somme jeudi et vous auriez pu payer tout en même temps, j’annule votre carte de paiement, puis vous payez tout ensemble, ci vous voulez bien sûr.

– Bien, merci, c’est OK.

Elles montent à l’étage rejoindre leur chambre, se lâcher un peu en discutant de tout et de rien.

Le téléphone de Marina sonne, elle ne décroche pas le numéro lui est inconnu.

– Tu ne répond pas ?

– Non, inconnu, je vais bien voir ci il y a un message.

La sonnerie de la messagerie se fait entendre.

– Ben, voilà, on m’a laissé un message sur le répondeur.

 

                              Béatrice Montagnac



13/04/2020
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