Les sanglots d’automne (le Roundel)
Les sanglots d’automne (le Roundel)
Qu’il s’effrite mon cœur, aux longs sanglots d’automne,
Dans une souffrance ivre en la nuit du vainqueur ;
Lequel proclame un sort au son d’un dulcitone !
Qu’il s’effrite mon cœur.
Le temps passe livide en ce destin traqueur,
De ma sérénité, dans l’effroi qui détonne,
À la rose du mal, tel un marteau-piqueur.
Le ciel est déconfit, dans ce gris monotone,
Ceux de mes sombres jours au sommeil d’un rocker,
Demain, son âme ira vers l’ange qui chantonne ;
Qu’il s’effrite mon cœur.
Béatrice Montagnac
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