Oh, n'est-ce qu'un peut-être (Le Zégel)
Oh, n’est-ce qu’un peut-être (Le Zégel)
L’avenir n’est-il donc qu’un songe à nos serments ?
Ceux de revivre enfin, loin de tous ces tourments
Si douloureux au cœur nos lots d’enterrements
De l’an deux mille vingt en très grande souffrance.
Reste t-il un espoir sur notre long chemin
Au néant qui l’accueil à chaque lendemain ?
Que la covid effleure encore de sa main
Le flambeau de l’enfer en son intempérance.
Puis laissant sur la route au confins de la mort
Les autres patients sans leurs soins de support
Car elle est seule au centre et cela sans remord,
Cette inclination œuvre avec assurance.
Nous sommes les pions d’un empire puissant
Qui nous fait cheminer dans un lien coulissant
Vers la peur du gendarme, Ô, combien saisissant
Alors qui rit de nous avec indifférence ?
Doucement cette année arrive au terminus
Dans l’espoir du meilleur vers l’astre de venus
La gésine du mal aux portes d’Uranus
Mais, n’est-ce qu’un peut-être envers la délivrance ?.
Béatrice Montagnac
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