Quatrain d’un poème en stances de Maria (Un don d’excellence) L’amour ne meurt jamais (Glose)
Quatrain d’un poème en stances de Maria (Un don d’excellence)
Nous n’avons plus trop l’âge à frémir d’une ardeur
Mais nos cœurs sont toujours à battre la chamade
Nous tenons sans égard à charmer la tiédeur
De nos corps révélant une douce accolade.
L’amour ne meurt jamais (Glose)
Elles brûlent encor nos ailes dans la danse,
D’un ballet bien plus doux, qui frôle la pudeur,
Avec affection en belle effervescence,
Nous n’avons plus trop l’âge à frémir d’une ardeur.
Ils sont loin, nos vingt ans, mais il reste en éclat
Ce penchant admirable à notre faim nomade,
Sur nos hanches glamours, qui nous met raplapla,
Mais nos cœurs sont toujours à battre la chamade.
L’aleph d’un beau message au miroir de ton âme,
Que tes clins d’œil coquins dévoilent en splendeur,
D’un désir caressant, la bonté d’une flamme,
Nous tenons sans égard à charmer la tiédeur.
Les draps sont les servants de nos tendres ébats,
Aux flux d’un carillon, les vers d’une ballade
Qui font frémir un ange, aux clichés ici-bas
De nos corps révélant une douce accolade.
Béatrice Montagnac
Nous n’avons plus trop l’âge à frémir d’une ardeur
Mais nos cœurs sont toujours à battre la chamade
Nous tenons sans égard à charmer la tiédeur
De nos corps révélant une douce accolade.
L’amour ne meurt jamais (Glose)
Elles brûlent encor nos ailes dans la danse,
D’un ballet bien plus doux, qui frôle la pudeur,
Avec affection en belle effervescence,
Nous n’avons plus trop l’âge à frémir d’une ardeur.
Ils sont loin, nos vingt ans, mais il reste en éclat
Ce penchant admirable à notre faim nomade,
Sur nos hanches glamours, qui nous met raplapla,
Mais nos cœurs sont toujours à battre la chamade.
L’aleph d’un beau message au miroir de ton âme,
Que tes clins d’œil coquins dévoilent en splendeur,
D’un désir caressant, la bonté d’une flamme,
Nous tenons sans égard à charmer la tiédeur.
Les draps sont les servants de nos tendres ébats,
Aux flux d’un carillon, les vers d’une ballade
Qui font frémir un ange, aux clichés ici-bas
De nos corps révélant une douce accolade.
Béatrice Montagnac
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