Béatrice passionnément poésies

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Vingt ans plus tard suite 110

Vingt ans plus tard suite 110

 

Il regarde, les deux femmes avec son sourire charmeur et pourtant l’une d’elle reste de glace.

Vous ne répondez pas, ce n’est pas avec votre sourire que vous allez nous avoir dans vos filets, et puis, sans vous présenter, vous arrivez comme une fleur, vous êtes impoli, Cher Monsieur, lui dit Marina, alors que Claudine le mange des yeux avec une certaine appréhension.

Hum, je suis confus de vous avoir déplu, je me présente, mon non est Personne, car je suis un vagabond, en quête d’aventures, je cherche juste à faire connaissance, l’amour n’est plus ma préoccupation, j’ai donné, Chères Mesdames, dit-il en regardant, Claudine avec insistance.

Très, bien, en ce cas, c’est parfait car moi aussi j’ai donné, lui répond Marina, quant à Claudine elle reste silencieuse, elle se rend compte, que cet homme a quelque chose, qui la dérange.

Cher Monsieur, comme vous le voyez nous allons reprendre notre travail, nous sommes mannequins, dit Claudine, pressée de s’éloigner de cet homme.

Je suis désolé, pour le dérangement, mais nous serons amené à nous revoir.

 

Ô, certainement pas, puis, pour quelqu’un qui ne coure pas les femmes, hum.

Je suis gay, mais je suis intéressé par votre métier, voilà, cela vous convient-il comme explication.

 

On les appelle, elles le laissent donc là.

Lui, il sourit et soudain sont regard devient noir, pendant qu’elles s’en vont travailler.

 

Ce deuxième défilé sera décisif, pour leur avenir, si elles sont choisies, elles défileront, pour les plus grands couturiers du monde, avec trois autres mannequins vedettes.

Alors le club des cinq cover-girls sera créé, pour un contrat de cinq ans avec diverses agences de renommer mondial pour femmes rondes et avec le magasine ELLE, dont elles ont été choisies lors de leur premier Challenge.

 

Après trois heures de compétition, enfin une pose de deux heures, le temps pour les juges, de faire leurs sélections.

Pendant ce temps, elles vont prendre leur repas dans un petit resto sympa, il est quinze heures, elles ont faim.

Martin les suit discrètement, il va les attendre sans être vu, et les suivre encore pour savoir où elles demeurent.

 

Marina, le mec de tout à l’heure, ne t’a t’il, pas semblé bizarre?

Bizarre, non, mais quelque chose chez lui me dit, qu’il n’est pas là, par hasard.

Ah, et qu’est qui te fait penser, cela ?

Souvient toi, le texto que j’ai reçu, après que nous étions partis du Mexique, et que nous avions appris que les terroristes avaient étés arrêtes.

Oui, marina, je me souviens, tu n’avais pas répondu, comme tu me l’avais conseillé, ce détective, Alban, je crois. Pour le message, c’était écrit, si me souviens bien, Je vous retrouverais, ne chercher pas à savoir qui je suis, je suis personne. Ô, merde, tu crois que c’est !

Oui, comme tu peux le dire, je crains que ce soit, Martin où Félix je crois.

On fait quoi, alors ?

Je ne sais pas encore, mais maintenant que notre affaire est fini, voilà un autre problème, je pense contacter ce détective, j’ai ses coordonnées, en attendant, il va falloir ruser.

 

Pendant ce temps, Martin les observe.

 

Le jour de son arrivé, il a cherché un lieu, pour se loger, il a eu une chance de cocu, il a trouvé un endroit calme et pas cher, chic en plus de ça, quelle veine ! Pour passer le temps qu’il faudra, ici.

 

À Paris

 

Alban et Didier ont enfin trouvé, où se trouve les filles.

Ils vont maintenant contacter, les compagnies aériennes, pour connaître les derniers vols arrivés à L’Aéroport Franz-Josef-Straub de Munich.

 

Voilà, Alban deux vols sont arrivés à Munich ces dernière vingt-quatre heures et par de Martin, de Félix, sur la liste des deux vols, mais sur un autre vol datant de deux jours plus tôt, le nom de Félix Rivaux est bien sur la liste des passagers, il commandait donc son petits monde à distance, celui-là, dit Didier.

Je ne te le fait pas dire, bien, il avait vraiment tout planifié, pour gagner du temps sur nous, répond Alban.

Que faisons-nous, maintenant, nous partons à Munich ?

Non, il n’attend que ça, je vais contacter la police fédérale avec qui j’ai travaillé, j’espère qu’il ne sera pas trop tard.

 

Béatrice Montagnac

 



16/03/2021
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