L’amitié, la paix en chœur (Stances) suivie d’un monostiche, à la reprise du vers un
L’amitié, la paix en chœur (Stances) suivie d’un monostiche, à la reprise du vers un
Un rêve entre nos mains répandre l’amitié,
Que ma muse rappelle à la grande sagesse
Des hommes pour la paix, oublions la pitié
Qui n’est point honorable, indignant la largesse.
S’unir enfin sans guerre, ayant que de l’amour,
À donner avec joie un droit de vivre grâce
Dans un monde homogène au chant d’un troubadour,
Qu’alors les chansonniers le suivront sur la place,
Du centre de la terre à l’heure d’un soleil
Levant dans“ l’espérance” aux âmes bienveillantes
Complices des rêveurs qui sonnent au réveil
La conciliation, sans armes foudroyantes.
Érato signe un hymne à la pointe d’un cœur
Rassemblant les humains pour s’adorer sans haine,
Sur la planète bleue où tombe la rancœur,
Juste l’apaisement, extase bohémienne.
Un rêve entre nos mains répandre l’amitié.
Béatrice Montagnac
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