Rouge et noir (La grande Balladette) poésie historique reprise d’un poème libre
Rouge et noir (La grande Balladette) poésie historique reprise d’un poème libre
Cycle mille huit cent trente en lutte sociale
Les canuts lyonnais furent lors révoltés
Contre la servitude à l’ère glaciale,
Ils se sont défendus non sans difficultés
Levant le drapeau rouge à leur mouvement libre,
Combats des ouvriers pour gagner l’équilibre
D’une équité fragile aux mains des dirigeants,
Puis le fanion noir, couleur du communiste
Naîtra neuf ans plus tard ce futur anarchiste
À la force du peuple aux affronts exigeants.
La fédération d’unité jurassienne
C’est après qu’elle vît la clarté de ses jours
Les libérant du mal pour que tout redevienne
Comme hier en douceur tel de joyeux bonjours
Sans un affrontement et vivre en harmonie
aux courants des saisons cueillir la symphonie
Du banjo de la paix et vaincre le pouvoir
De ces infâmes rois qui savouraient leurs actes
Qu’ils fissent odieux des faveurs en leurs pactes
Conduisant les humains dans un grand écorchoir.
Vermeil était l’écrit d’une plume impériale
L’obscur de ses quatrains bouleversait toujours
En soulevant le vrai d’une loi martiale
Qui lors éclaboussait aux mines des vautours
Lesquels trébucheront, signant leur fin royale.
Béatrice Montagnac
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