Au firmament du temps ( La villanelle)
Au firmament du temps ( La villanelle)
Mon aïeule, ô, douce femme
Dans mon cœur, pause le temps,
Elle effleure encor mon âme,
À la lueur de sa flamme
Quand je pense à nos printemps,
Mon aïeule, ô, douce femme,
Qui vénérait son sésame
Et ses rosiers éclatants,
Elle effleure encor mon âme,
D’une image en oriflamme
Sur les nuages flottants,
Mon aïeule, ô, douce femme,
Qui fut une charmante dame
Aux grand yeux, réconfortants,
Elle effleure encor mon âme,
Baby, qui lors lui proclame
En paix des refrains chantants,
Mon aïeule, ô, douce femme
Elle effleure encor mon âme.
Béatrice Montagnac
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