L'armes de sang (Le Trivers)
Larmes de sang (le Trivers)
Périssent là des poussins innocents
Sous les gravats broyés de leur maison ;
Des hommes sains ont perdu la raison
Pour des conflits barbares oppressants.
La douleur cri un chant insupportable,
L'obscur chagrin de ces nombreuses femmes
Brûlant leur cœur prisonnier dans les flammes ;
Leur enfant mort un deuil intolérable.
Dans le crépuscule aux larmes de sang,
Quand en tombant les obus assassinent
Quel destin horrible et bouleversant
Que les combats des états enracinent !
Béatrice Montagnac
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